De par la possibilité qu’elle offre de permettre de doter plusieurs pays d’infrastructures communes et bien dimensionnées pour prendre en charge de manière efficace les besoins des populations tout en réduisant le coût de l’électricité, l’un des plus chers au monde, l’approche régionale doit être privilégiée. Pour les pays africains, en plus des 93 milliards de dollars nécessaires par an, le programme d’actions prioritaires (PAP) estime les besoins de financements des infratsructures prioritaires sur la période de 2012-2020 à 68 milliards de dollars.